S'il on devait décrire le chagrin
On dirait qu'ce n'est rien
Ce n'est pas la défaite, le chagrin
Ce n'est pas le destin
Ces choses et le coeur gros ça brûle dans un coin
c'est l'enfance qui nous tombe des mains
Quand on aura cent ans
Le moindre chagrin ne serait caresse
encore brûlant, encore emmêlé de quelques jeunesses
Et sali comme le vent